Diviser et Régenter
En face d’un insurgence toujours plus brutal à Bagdad -- en dépit de la forte augmentation des troupes – les forces états-uniennes maintenant se projettent de renfermer des vastes secteurs de la ville, y compris des quartiers entiers avec les barrages, laissant entrer seulement les Irakiens ayant les cartes d’identité nouvelles, dans une grande opération controverse de la contre-insurrection. La compagne des « communautés encloses » -dont la genèse était dans la guerre de Vietnam -- impliquera jusqu’à trente des 89 quartiers officiels et sera le programme le plus ambitieux de la contre- insurrection encore mis en place par Les É.U. en Irak. Ce système a été employé dans le passé, et il a échoué spectaculairement, et son inauguration en Irak est autant un signe de la désespérance américaine face à la descente continue du pays vers la guerre civile qu’il est de la détermination américaine de « gagner » la guerre contre l’insurrection irakienne, qui a coûté la vie de plus de 3,200 troupes américaines. Le système de renfermer les zones sous l’occupation étrangère échouait pendant la guerre contre le FLN par les Français en Algérie et encore lorsque les Américains l’ont employé en Vietnam. Israël a employé les practices pareilles pendant son occupation du territoire palestinien – toujours avec peu de succès. Mais la compagne a les ambitions militaires d’une envergure bien plus large que la pacification de Bagdad. Il apparaît maintenant que le militaire des États-Unis a l’intention à placer autant que cinq brigades mécanisées --- comprenant autours de 40,000 hommes – au sud et à l’est de Bagdad, du moins trois placées entre le capital et la frontière iranienne. Ceci présentera à l’Iran une force américaine puissante – et peut-être agressive –près de sa bordure dans l’éventualité d’une frappe contre ses facilités nucléaires par les É.U. ou l’Israël plus tard cette année. Le dernier « plan de sécurité » , dont The Independent a appris les détails, étaient confectionné par Général David Petraeus, le commandant actuel des É.U. à Bagdad, lorsque il assistait à un cours du commande et l’état-major à Fort Leavenworth, Kansas. Ceux qui y assistaient – des généraux américains qui servent en Irak et des officiers les plus hauts du Corps de Marins états-uniens, avec, d’après quelques rapports, au moins quatre officiers supérieurs de l’Israël– ont participé dans une série des débats pour décider comment faire un revirement de la guerre disastrueuse en Irak. D’abord, l’accent du nouveau plan américain sera de mettre en sécurité les marchés du Bagdad et les lieux de prédominance Shia. Les arrestations sera importantes des hommes en âge de s’engager dans les actes militaire. Le projet des cartes d’identité se fond sur un système adopté à la ville de Tal Afar par les hommes de Général Patraeus -- et particulièrement par Colonel H.R. McMaster, du troisième régiment de la cavalerie blindée -- tôt en 2005, quand un barrage huit pieds de haut était bâti autour de la ville pour empêcher le mouvement des hommes armé et des armes. Le Général Petraeus a vu la compagne comme un succès, bien que Tal Afar, près de la frontière syrienne, soit depuis tombé encore sous le contrôle des insurgés.Jusqu’à ici, la compagne de Bagdad a seulement impliqué la création de quelques positions des États-Unis dans plusieurs zones civiles de la ville, mais le nouveau projet impliquera des bases de soutien jointes des Américains et des Irakiens dans neuf des trente quartiers qui seront « enclos ». Depuis ces bases, dans les immeubles fortifiés, des forces E.U.-Irakiens débarrasseront des milices les rues civiles, ce qui alors sera renfermées et les cartes identitaires données à ses habitants. Seule les habitants seront laissés entré dans ces « commumautés renfermées », et il y aura des patrouilles sans cesse des forces irakiens et états-uniennes. C’est vraisemblable qu’il y aura des dispositifs d’entrée, registration des visiteurs, et des restrictions sur le mouvement en dehors les « communautés renfermées ». Il se peut que les civiles se trouvent à l’intérieur d’une prison d’une population quadrillée. En théorie les forces américaines peuvent alors se concentrer de fournir la reconstruction matérielle dans ce que les militaires aiment appeler un « milieu sûr ». Mais les insurgés ne sont pas les étrangers, en dépit de la présence en Irak d’al Qa’ida. Ils proviennent de les mêmes centres de population qui sera « enclos » et sinon découverts, ils tiendront eux-mêmes des cartes d’identité : ils seront enclos avec tous les autres. Un ancien officier américain en Vietnam qui a une connaissance profonde du plan de Général Petraeus est sceptique des résultats possibles. « La première loyauté d’aucun Sunni qui est membre de l’armé irakien appartient à l’insurrection », il a dit. « L’appartenance premier d’un Shia n’importe qui est au dirigent de sa partie politique et sa milice. Un Kurde dans l’armé irakienne, sa loyauté est d’abord ou à Barazani ou à Talabani. Il n’y a aucune armée indépendente irakienne. Ils essayent de sauver leurs familles de la famine et des représailles. Une fois, peut-être, ils ont cru à un Irak uni. Une fois il se pourrait qu’ils aient été laïque. Mais la violence et la brutalité qui commençaient avec l’invasion américaine ont brûlé ces idées libérales des gens...Chaque américain qui s’encastre dans une unité irakienne est en danger mortel. » Les généraux supérieurs qui ont construit la nouvelle plan de la securité pour Bagdad étaient en grande partie responsable du manuel séminal de compagne sur la contre-insurrection – officiellement confidentiel – produit par le département du l’armée décembre l’année dernière, numéroté de code FM 3-24. Bien qu’il ne plaide pas spécifiquement pour la compagne des « communautés renfermées », une de ses principes est l’unificaiton des activités civiles et militaires, en citant « les opérations civiles et les équipes révolutionnaires pour le soutien de développement » en Vietnam de Sud, l’assistance aux réfugiés kurdes dans le Nord de l’Irak en 1991, et « équipes de la réconstruction provinciale » en Afghanistan – un projet largement condemné pour faisant les liens entre coopération militaire et l’aide humanitaire. FM 3-24 est rude dans son analyse de ce que les forces contre-insurrectionnaire doit faire pour arrêter la violence en Irak. « Avec de bons renseignements » il dit, « Les contre-insurgés sont pareilles aux chirurgiens qui excise un tissu cancéreux lorsqu’ils épargnent les autres organes vitaux. » Mais un autre ancien officier supérieur américain a produit son propre compte rendu pessimiste sur le projet des quartiers « enclos ». « Un fois les troupes additionales sont en place, les insurgés couperont les lignes de la communications tant qu’ils soient capable » il a dit à l’Independent. « Ils feront la même au dédans de Bagdad, obligeant l’utilisation de plus de hélicoptères.. Les hélicoptères seront vulnérables lorsqu’ils viennent aux bases de patrouille, et l’ennemie abattra autant qu’il peut. La deuxième partie de leur plan sera d’entreprendre de détruire un base de patrouille. Ils amarreront ce procès en utilisant leur gens à l’intérieur des « communautés renfermées » pour les aider d’y entrer. Ils choisiront des bases où les troupes irakiens ou ne lutteront pas ou les soutiendront en fait. « La réaction américaine sera de faire les ripostes massives, ce qui detruira le quartier qui l’on protège. »Les peurs de l’ancien officier pour les équipes des hélicoptères américaines se sont soulignés hier quand l’on a abattu un Apache militaire au-dessus du centre de Bagdad. Le fils de l’américain est officier qui sert actuellement à Bagdad. « La seule opportunité que a l’armée américaine a de se replier avec de l’autorité tactique quelconque est de prendre des pertes substantielles comme emblème de leur respect pour la situation crée par l’invasion » il a dit. « L’effort de créer de l’ordre de pars le chaos et la volonté d’assumer des pertes laisseront un résidu du respect pour les Américains lorsqu’ils partent. FM 3-24 : Nouveau plan directeur pour IrakFM 3-24 comprend 220 pages des plans contre- insurrectionnelles, des techniques de l’entraînement de combat, et de l’analyse historique. Le Lt. Gen David Patraeus, commandant à Bagdad, et Le Lt.-Gen. James Amos des Marins américains dressaient le rapport, qui étaient le noyau dur de la nouvelle compagne états-unienne contre les insurgés irakien. Voilà quelques-unes de ses recommendations et conclusions.Aux yeux de quelques-uns, un gouvernement qui ne peut pas protéger son peuple perd le droit de régner. Dans des parties de l’Irak et l’afghanistan... les milices se sont établies en tant que les arbitres de la sécurité matérielle de la population – parfois après miner d’abord cette securité. ...Dans le narratif d’al-Qa’ida...Osama bin Laden se dépeint comme un homme, purifié en les montagnes de l’Afghanistan, qui inspire des disciples et punit les incroyants. À l’imagination collective de Bin Laden et ses adeptes, ils sont les agents de l’histoire islamique qui renverseront le déclin de l’umma (communauté musulmane) et y amèneront son triomphe sur l’impérialisme occidental. Lorsque la Hôte Nation augmente sa légitimité, la population commence à l’assister plus activement. À la longue le peuple marginalise les insurgés jusqu’à ce que leur prétension à la légitimité se detruit. Pourtant, une fois ceci s’achève la victoire ne se gagne que quand elle est entretenue en permanence par le peuple et avec son soutien actif. De l’abus des droits de l’homme commis par les forces américaines deviennent connus partout dans la population locale. Des actions illégitimes minent les efforts de la contre-insurrection...l’abus des détenus est illégal, immoral, et il manque aux devoirs de la profession.Si les forces militaire restent dans leurs bases, ils perdent les liens avec le peuple, apparaîssent de courir de peur, et cèdent l’initiative aux insurgés. Les patrouilles de saturation, les ambuscades, et les operations des postes d’écoute doivent se conduisent, la risque partagée avec la population et des liens (avec elle) entretenus.FM 3-24 cite Lawrence d’Arabie disant : « N’essayez pas de faire trop de vos propres mains. Mieux il vaut que les Arabes le fassent passablement que vous le fassiez parfaitement. FM 3-24 constate l’échec de Napoleon de controler l’Espagne occupé en ne fournissant pas un « gouvernement stable » à l’égard de la population. Le document dit que sa lutte a duré presque six ans et a nécessité quarte fois le 80,000 troupes que Napoleon d’abord a designé. N’essayez pas de casser le plus dur noyau premièrement. N’allez pas droite au lieu fort des insurgés. À la place de ça, démarrez à partir des lieux sûrs, et avancez petit à petit. ... allez dans le sens de la veine et pas à contre fils de la population locale.Soyez prudent que les soldats ne fraternisent pas trop librement avec les enfants locaux. Mal de leur pays les troupes veulent laisser leur garde avec les gamins. Mais les insurgés guettent. Ils notent n’importe quoi amitié entre les troupes et des enfants. Il se peut qu’ils fassent du mal aux enfants pour les punir ou qu’ils les employent comme agents.
L’article original à www.alternet.org/story/50439
traduit de l’anglais en français Lawrence Austin